samedi 18 juillet 2009

il semble que les esses de mon esprit se soient essayés sur un papier sans papiers ... il semble que le miroir de ma vie ait glacé mon esprit ... et cela est sans retour sachez le mon amie ... Cati ... un jour j'ai vu la vie, cela brulait en moi tant et si fort que j'ai emporté tout auprès de moi des mots orthographiés à souhait ... et les atchoum et autres shtoumpfs m'ont enterrés dans le ciel de ma vie ... le ciel de ma vie comme cela raisonne à présent, oreillette à l'appuit, bach est une valeur sure, soyez en certaine, vous êtes un endroit de ma vie qui m'entretient de belle façon ... une si jolie histoire, un enfant qui regarde un arbre et ... un arbre qui épouse le ciel de ses branches belles ... et les feuilles dedans me touchent au plus près, une seule qui vole au vent, et l'enfant s'entretient avec elle ... une feuille d'automne qui touche l'âme d'un enfant, un vent de folie, une demeure certaine, une sensuelle amie, des mots qui vous échappent, je n'en suis pas le maître puisque mon miroir m'a tout pris ... la jolie histoire, moi embrumé à souhait, les fautes d'orthographe sont mes amies puisque je les fuis, comme moi même à présent, puisque à présent c'est maintenant ... vous m'avez porté dans mon enfance heureuse, là à portée des arbres, et puis un seul m'a semblé centenaire, il m'a regardé de ses grands yeux bleus, un silence d'or et de tristessse avec trois sss, c'est sans vous dire encore l'amour que j'ai pour le soleil qui me réchauffe le coeur si souvent ... jean sébastien bach m'aprend tout cela ... rester celui que je ne serai jamais ... sans retenue ... un éclair qui sans pareil m'étire au plus loin et aussi au plus près ... un jardin d'enfance ... un truc de fou ... qui vous emmène près de vous, c'est que je le sais à présent cela vous semble étrange, mais qu'importe, il me semble que je vous parle, et que votre silence entretient cette conversation, là je suis bien avec vous, sans fautes d'orthogirafe, parce quej'aime bien les girafes, et puis je crois elles aussi, puisque un jour quand ma vie sera partie il y aura toujours des orthogirafes chères à mon coeur ...

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