vendredi 24 juillet 2009

Nouveau message, que dire, mon sir ... Je rends les gens malheureux, mais sans fautes d'orthogirafes, cela est sûr, c'est quand je pars comme cela auprès de ma mélancolie, métro parisien qui vole à mon envol, vertigineuse envie, rire de rien et rire avec un seul doigt qui écrit ma vie, un sensuel ami, et puis c'est tout, c'est tant en même temps ... rendre les gens malheureux, sans le savoir pasque moi je suis un grand coeur malade, et puis vivre cela en filigrane ... je sais pas bien ce mot comment on l'écrit alors je l'écris avec mon coeur, ce qu'il en reste est vaillant ... soufflons un peu à souffrir ... souffrons un souffle ou deux, c'est sans importance, le sens de tout ceci est sans esse et sans cesse revient à moi ... moi ... toujours moi pas là, pas si, pas do au mur, un sol qui me fait mi et puis chui parti loin dans mon enfance, chaviré à souhait ... s'il vous plait écoutez cela ... un truc de fous qui par en foufou, foufou pasque coco il m'a dit (coco c'est mon chat de quand j'étais petit), coco il me dit "je suis dans ton coeur" alors moi je lui dis qu'il est bien là tout auprès de moi près de rien de bien clair mais c'est si bon de le sentir ... merci le soleil, et aussi merci la lune, ma mine s'étire en cent mille endroits de ma vie ... ma vie, il m'a semblé en avoir parlé si peu pasque en fait mavie c'est en unmot commeça, avec un éclat de verre, rajoutez un gunter qui meurt dans une étable d'avoir bu trop d'ivresse, et puis moi chui toujours là à rien dire juste unmot et puis tous mes impots qui s'enchainent à mon corps ... et puis y'a mon coeur, il est intact Cati ... y'a bien sûr la vie qui va, sauter à quatre moutons sur un élastique de l'enfance, sentir le vent dans mes cheveux d'argent, rien dire, m'asseoir sur un banc et puis plus parler ... sachoir (du verbe savoir sans s mais sans ache auchi ou aussi, au choix), c'est ainsi que vous vous vous vous vous vous éloignez Cati ... que m'importe puisque ces vous sont intempestifs à souhait, et pis moi je suis si heureux de vous les raconter de la sorte ... moi je voulais être un petit prince et puis ici je suis si bien ... merci pour vos silences sonores ...

samedi 18 juillet 2009

il semble que les esses de mon esprit se soient essayés sur un papier sans papiers ... il semble que le miroir de ma vie ait glacé mon esprit ... et cela est sans retour sachez le mon amie ... Cati ... un jour j'ai vu la vie, cela brulait en moi tant et si fort que j'ai emporté tout auprès de moi des mots orthographiés à souhait ... et les atchoum et autres shtoumpfs m'ont enterrés dans le ciel de ma vie ... le ciel de ma vie comme cela raisonne à présent, oreillette à l'appuit, bach est une valeur sure, soyez en certaine, vous êtes un endroit de ma vie qui m'entretient de belle façon ... une si jolie histoire, un enfant qui regarde un arbre et ... un arbre qui épouse le ciel de ses branches belles ... et les feuilles dedans me touchent au plus près, une seule qui vole au vent, et l'enfant s'entretient avec elle ... une feuille d'automne qui touche l'âme d'un enfant, un vent de folie, une demeure certaine, une sensuelle amie, des mots qui vous échappent, je n'en suis pas le maître puisque mon miroir m'a tout pris ... la jolie histoire, moi embrumé à souhait, les fautes d'orthographe sont mes amies puisque je les fuis, comme moi même à présent, puisque à présent c'est maintenant ... vous m'avez porté dans mon enfance heureuse, là à portée des arbres, et puis un seul m'a semblé centenaire, il m'a regardé de ses grands yeux bleus, un silence d'or et de tristessse avec trois sss, c'est sans vous dire encore l'amour que j'ai pour le soleil qui me réchauffe le coeur si souvent ... jean sébastien bach m'aprend tout cela ... rester celui que je ne serai jamais ... sans retenue ... un éclair qui sans pareil m'étire au plus loin et aussi au plus près ... un jardin d'enfance ... un truc de fou ... qui vous emmène près de vous, c'est que je le sais à présent cela vous semble étrange, mais qu'importe, il me semble que je vous parle, et que votre silence entretient cette conversation, là je suis bien avec vous, sans fautes d'orthogirafe, parce quej'aime bien les girafes, et puis je crois elles aussi, puisque un jour quand ma vie sera partie il y aura toujours des orthogirafes chères à mon coeur ...