mercredi 26 août 2009

Souvenir du Régina

A la recherche de l'emmoi et de mes mois heureux, j'ai tenté l'aventure, dériver et quitter la rive, à perdre haleine, et revenir à des souvenirs d'autrefois ... Je me rappelle cette fois là avec ma mère, au Régina, salon de thé de haute tenue ... Nous étions assis là, dans des fauteuils en feutre, rubans à l'appuis, à déguster une boissons chocolatée des plus exquises ... là, sans cesse, cela glisse encore en moi comme pour me rappeller l'adolescence heureuse, l'insouciance amie, l'imaginaire ... et la mer ... la mer dans mes yeux d'enfant roi ... rêves à l'appuis de mon âme, un peu comme les rubans à l'appuis de mon fauteuil ... embrasser au plus près les lumières de cette salle parisienne, regarder les gens assis sans les voir vraiment, alentours dans le salon d'or et d'argent, sentir le parfum qui emmêle ainsi les gens, arôme de jasmin qui s'enfuit déjà, reviens à moi, raconte moi encore les gens heureux, la salle des miroirs, la fenêtre qui emporte auprès d'elle des oiseaux éphémères ... Un garçon de table passe devant ma mère et moi, il dépeint un savoir-servir sans pareil, appareillé d'un plateau d'argent et dessus des verres en cristal brillent de leur éclat ... Des arômes ensoleillés se dégagent de la théière au jasmin ... Il se penche alors à la table d'à côté et dépose avec élégance saveurs et parfums qu'on lui a commandé ... Le couple à l'honneur est affublé d'un petit animal domestique en forme de petit chien ... Etrange, il me regarde de ses grands yeux, avec plein de noir dedans ... Alors, en cachette de son papa et de sa maman, je lui lance un clin d'oeil silencieux ... Cela provoque chez le petit animal des petits sursauts d'effroi qui emparent tout son corps ... Seuls ses yeux ne bougent pas, ne serais ce que d'un cil ... Comme pour garder la garde, et garder auprès de lui mes rêves d'enfant ...

mardi 25 août 2009

Rêver aux abords du métro parisien, celui qui va très vite dans les étoiles, tout Eiffel exquise qui prend toute la place et puis moi y a plus la place pour mes rêves, rêver les silences et rien sentir alentour, esquisser un sourire et m'excuser de qui je suis et aussi de qui je suis pas, pas à pas rentrer dans ma maison de verre ... rentrer nulle part, mais au petit matin embrasser mon petit garçon, il rigole toujours aux éclats quand il me voit, il me range de son côté ... son rire est un soleil éternel dans mon cœur, il est si gentil là à dormir, et rire, me regarder de son air malicieux et jeter en coin un visage hagard, sentir son âme qui touche mon âme, me cacher dans ce silence centenaire, et me dire qu'il doit bien y avoir le bonheur au bout ... blesser les gens et qu'ils m'oublient après, pas à pas, comme mon papa on l'a oublié ... ses excès sont sans excuses et moi je lui pardonne tout ... traverser ainsi la vie et me laisser aller dans ma tête, voyager sur les ponts de la seine, à l'aurore, au vent des brumes ... sentir tous les gens qui ont écrit sur Paris, me balader en bandit dans les rues de Paris, et piocher dans la vie des gens ... voilà ce qui me touche, écouter la musique qui s'éloigne ... et puis rentrer au bercaille du travail, là ou la vie s'arrête ...

samedi 22 août 2009

comme cela était si beau en fait j'en aipleuré c'était si beau qu'un jour j'ai sentie moi la petite chose, comment fait il pour toucher la musique c omme celle là et qu'ainsi j'en sois démunis, mourir plutôt que ne jamais jouer de la sorte, j'étais si triste, de me dire qu'ainasi je ne serai rien, meme avec la lumière, sauvzez moe, je sais que alexa,dre tharaud jouera l'andannte de jean sebastien bach, en fait je suis si si triste que je ne le jouerai jamais aussi bien, et cela me fait un truc de fu, plutoto que rizn, tout le reste me touvhe, moi tout petit peu au creu de cette vriae musique, et puis après plus rien ...

un jour j'ai mouru

Un jour j'ai mouru toute ma vie, et puis quoi alors sinon mes sinons sonores et insonores, des raayons de ma vie, toute petite, elle est charnelle mais sincère, croyez le ou pas, c'est quoi la différence puisque c'est dans mon âme d'enfant et ,qu'un jour jene serai plus moi ...enfin ....